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elbeehem23

L'ÉNIGME QUE REPRÉSENTE LE NOM DE "TAROT"

Dernière mise à jour : 9 mai


Georges de la Tour, Le Tricheur à l'As de carreaux

L'amateur du Tarot doit commencer par regarder avec attention ce qui s'offre à ses yeux en se gardant de toute précipitation. Dès lors, toute une série d'énigmes s'offrent à lui. Résoudre ces énigmes est le premier pas pour ouvrir le Livre du Tarot. Toute anomalie doit être explorée, car n'en doutez pas, le ou les créateur(s) du Tarot n'ont pas fait d'erreurs. Une singularité, au sein d'un ensemble bien ordonné, est toujours un indice volontairement laissé par lui ou eux sur la route de l'amateur pour que ce dernier puisse s'orienter vers la clé qui lui permettra d'ouvrir le Livre du Tarot.

L'une des énigmes les plus évidentes réside dans le nom de "Tarot". D'où vient-il ? Est-il un indice laissé par le ou les créateurs du Tarot pour permettre à l'amateur attentif d'ouvrir ce Livre en image ? Ou bien ce nom vient-il des joueurs et fait-il référence à une des règles organisant leurs échanges ?

Résoudre cette énigme ne peut se faire qu'à l'aide conjointe des historiens et de l'Organisation holistique du Tarot de Marseille. Les premiers nous apprennent que e tarot qui est inspiré en parti du jeu princier des cartes de Triomphes prend un nom spécifique dont les premières traces apparaissent au XVIe siècle, même si la découverte, au début du XXe siècle, de six Cartes de Tarot dans le puits de Milan qui sont en tous points semblables au Tarot de Marseille tel qu'il est parvenu jusqu'à nous, conduit à penser que le Tarot existait avant ce ce nom de "Tarot" apparaisse dans les traces de l'histoire.

  • C'est au début du XVIe siècle qu'apparaît le mot "Tarot" ("tarochi")

Deux sources signalent, en Italie comme en France, cette apparition de cette nouvelle désignation : des registres des comptes du comte d'Este à Ferrare parlent, en 1505, d'un achat de huit jeux nommés "tarochi" et, la même année, un notaire d'Avignon enregistre un contrat de cartier qui engage la livraison de quatre douzaines de jeux de "taraux". L'historienne Isabelle Nadolny relève cette précision dans l'acte notarié avignonnais : en affirmant que ces jeux sont "communément appelés taraux", le notaire témoigne que c’est par un usage populaire que les jeux sont désignés ainsi, tirant de ce fait une conclusion à laquelle nous n'adhérons pas : selon elle, il ne faut pas chercher l'origine du mot dans l'étymologie grecque par laquelle se construiraient exclusivement des mots savants. N'oublions pas en effet qu'à cette époque de la Renaissance, toute l'aristocratie et la bourgeoisie aisée donnent aux fils, et parfois aux filles, une éducation humaniste où le latin bien sûr, mais aussi le grec font partie des acquis.

  • L'origine latine et l'origine grecque des mots en langue française

De nombreux mots de la langue française se rattachent en effet et de manière aussi bien savante que populaire, à l'étymologique grecque ou latine. Le plus souvent, dans l’usage spécialisé et savant une étymologie grecque est assez systématiquement recherchée et il s’agit d’une création volontaire du mot. L'usage commun et populaire relevant d'un développement spontané de la langue parlée, les mots s’enracinent dans une lente dérivation du latin. Mais ce n’est pas systématique, il y a aussi des mots d’usage courant qui viennent du grec tout simplement parce que les usages savants peuvent se démocratiser très rapidement et, de même, il y a des mots savants qui se rattachent au latin. Si, pour prendre un exemple, le mot commun "raison" et l'adjectif "raisonnable" dérivent, de manière populaire, du latin "ratio", les mots et adjectifs "rationalité" et "rationnel" représentent un retour volontaire et savant à la racine latine, et, cela, sans pour autant en passer par le grec. D'un autre côté, des mots comme "astres", "astrologie", "astronomie", "démocratie", "démagogie", "exotisme" etc. témoignent d’une origine grecque, tout en étant devenus des mots d’usage courant, un usage donc qui n’est pas propre qu'aux spécialistes et savants. Qu'en est-il du mot "tarot" ?

  • L'éducation humaniste de la Renaissance a réactivé la construction des mots en langue française à partir du grec

L'une des plus importantes caractéristiques de la Renaissance, c'est la redécouverte de la culture grecque antique. Cette redécouverte est en partie due au fait que des manuscrits grecs, depuis longtemps oubliés ou perdus en Europe occidentale sont parvenus en Italie, accompagnant des érudits byzantins, ces derniers trouvant refuge après la chute de Constantinople. Toute l'élite italienne puis européenne s'éprend de la culture grecque antique et cela se traduit dans l'émergence de la culture humaniste, et cette culture prend racine dans ce qu'on va appeler "les humanités", cette partie de l'enseignement qui a, à partir de là, consisté à permettre à la jeunesse de s'emparer des grands textes grecques et latins.

À cette époque où les historiens témoignent que le jeu de Tarot avait reçu le nom qu'il allait désormais garder, les joueurs n’étaient certainement pas tous des personnes incultes et qui auraient ignoré le sens profond d'un mot enraciné dans la langue grecque. Avoir du temps pour fréquenter d’autres joueurs et avoir suffisamment d’argent pour pouvoir miser n’était probablement pas, en effet, le propre du petit peuple laborieux. Dans ces temps où l'humanisme exigeait, en outre, chez la jeunesse aristocratique et bourgeoise, une éducation aux langues anciennes, tant grecque que latine, rien ne permet d'affirmer que l'invention des mots populaires par des joueurs ne saurait dériver d'une fidélité étymologique au grec ou au latin, et plus volontier au grec qu'au latin s'il s'agit d'une expression volontaire.

François Rabelais

Rabelais, dans Pantagruel, nous a laissé le témoignage de ce que pouvait être cette éducation humaniste que recevaient les enfants bien nés à la Renaissance. Dans la lettre que le géant Gargantua envoie à son fils Pentagruel où il lui donne ses directives en ce qui concerne sa future entrée à l’université, il rappelle en effet que toute éducation digne de ce nom démarre par la connaissance de la langue grecque : "J’entends et je veux que tu apprennes parfaitement les langues : premièrement le grec, comme le veut Quintilien ». Si l’appétit intellectuel que manifeste, pour son fils, Gargantua relève de la démesure propre à son espèce puisqu’il s’agit de géants, et si en plus du grec, il faudra à Pantgruel apprendre l’hébreu, le chaldéen, l’arabe et le latin... reste que, toute proportion gardée, c’est bien l’idéal de l’éducation humaniste qui est ainsi énoncé par Rabelais.

Il n'y a donc rien d'absurde à imaginer que les joueurs de Tarot, et peut-être aussi ceux qui ont su en comprendre tout le message symbolique se soient servi de l'étymologie grecque ou latine pour désigner ce jeu en images. C'est bien ainsi que se le représentent les occultistes des XVIIIe et XIXe siecle qui ont tenté de trouver une étymologie latine, puis hébraïque au mot "tarot", négligeant trop souvent le grec cependant, et restant d'autre part dans une recherche plus fantaisiste que sérieuse.

  • Les pseudo-étymologies des occultistes

L'ouroboros et la pierre philosophale

La méconnaissance des raisons historiques qui ont pu conduire à la création du nom "tarot" que les historiens observent au tout début du XVIe siècle a conduit les occultistes des XVIIIe, XIXe, et même XXe siècles à une surabondance d'interprétations dans leur recherche d’une étymologie adéquate.

Parmi les interprétations de l'origine du mot "Tarot" des occultistes et que cite encore l'historienne Isabelle Nadolny, il y a le mot latin "orat" qui signifie, en langue française, "il parle" ou "il prie", et bien sûr, le mot hébraïque "torà" qui désigne « une image significative ». Parmi elles, se trouvent les propositions d'Éliphas Lévi, un occultiste né Alphonse Louis Constant, et qui fut un ecclésiastique, avant de s'affilier à l'Ordre occulte de la Rose-Croix universelle. Selon Éliphas Lévi, le mot latin "rota" qui, en français renvoie à "la roue", serait dérivé lui-même du mot hébreux « Torah ». Éliphas Lévi voit, en effet, dans le Tarot, l'image inspirée par les enseignements spécifiques et secrets de la Torah qui remonteraient, selon lui, à "la roue mystique d'Ézéchiel" et avant celle-ci, à un savoir mystique égyptien transmis par les "magistes" et les "bohémiens". La présence de "t" final dans le mot « tarot » est interprétée par lui comme un signe laissés par les créateurs du Tarot pour que les adeptes se doutent que le mot "doit être retourné", dévoilant ainsi son secret tout en illustrant la temporalité circulaire que symbolise aussi l'Ouroboros comme expression mondaine de l'éternité divine.

Toutes ces pseudo-étymologies latines et hébraïques sont nées de ce que les occultistes ont vu dans le Tarot de Marseille : la transmission en image des enseignements de la Kabbale, enseignements que certains font remonter à une « loi orale et secrète » qu’aurait transmise Yahvé Dieu à Moïse sur le mont Sinaï, en parallèle à la loi écrite exotérique (la Torah), tandis que d'autre, Éliphas Lévi par exemple, soumettent la tradition occulte propre au judaïsme à un enseignement plus ancien, de nature égyptienne. Or, aussi intéressante que soient les apports de la Kabbale au monde des occultistes, elle n’est pas celle du Tarot, car elle appartient à un espace-temps différent. La Cabbale est provençale et espagnole et elle appartient aux XIIe et XIIIe siècle de notre ère, même si elle s'enracine dans une culture antique antérieure, quand le Tarot est italien et propre à la Renaissance. La première est une interprétation des textes hébreux par les juifs, quand le Tarot s'assoie sur une tradition hermétiste et platonicienne renouvelée par sa conjonction avec l'humanisme chrétien.

Peu d’humanistes de la Renaissance avaient en réalité accès à cette tradition qu'est la Kabbale qui n’a été vraiment approchée, parmi eux, que par Pic de la Mirandole. Lire le Tarot à travers l’Arbre de vie et les Sephiroth, ou à partir de l’interprétation que peuvent en faire ceux qui s'essaient à la Kabbale a pour effet d'occulter ce que le Tarot transmet en propre : une espérance à la fois l’humaniste, chrétienne et hermétiste de la Renaissance, un humanisme à la croisée entre un message évangélique repensé, nettoyé en quelque sorte de la vulgate, cet enseignement religieux de Rome, et, d’autre part, un hermétisme venu de Constantinople et hérité de l'Alexandrinisme antique, lui-même représentant une synthèse entre une métaphysique égyptienne et une philosophie grecque.

Cette lecture du Tarot de Marseille à partir de ce que les occultistes des XVIIIe et XIXe siècles croyaient connaître de la Kabbale est la principale raison de la longue éclipse qu’a connu l’organisation holistique du Tarot de Marseille qui a attendu le début du XXIe siècle pour se dévoiler. La Kabbale est en effet fondée sur le nombre six et l’étoile de David, l’hexagramme, quand le Tarot, ainsi que l’humanisme hermétiste de la Renaissance est fondée à la fois sur le nombre cinq et le nombre d’or, ainsi que sur leur relation dans le pentagramme, l’étoile à cinq branches, appelée aussi "étoile flamboyante". Le Tarot est une représentation du monde fondée sur la géométrie sacrée dans son lien au Nombre d'or et à l'humanisme, ce dont le pentagramme est le symbole, et cette représentation est la clé qui permet d'ouvrir le Tarot de Marseille qui ne se dévoile qu'à celui qui opère une distribution des Cartes cinq par cinq.

  • La rangée des cinq doigts de la main, et le Tarot

Cinq cartes ou cinq doigts font une Main

Dans la multiplicité des étymologies possibles du mot « Tarot », il y en a qu'une qui s’accorde pleinement avec cette vision propre à l’humanisme de la Renaissance que porte le Tarot de Marseille et qui, de surcroit, appartient à l'univers des jeux de cartes et à son champ sémantique : le mot grec "tarros" (ou "tarsos") qui renvoie à la rangée des cinq doigts dans la main.

Il n’y a rien d’étonnant en effet à ce que des joueurs cultivés de la Renaissance aient adopté le mot grec « tarros » pour désigner un jeu où la distribution initiale du jeu se faisait cinq Cartes par cinq, ce qui est attestée par une lettre de l’abbé Michel de Marolle datant de 1637 et encore, à la fin du XVIIIe siècle, par Court de Gébelin dans Le Monde Primitif qui décrivant le jeu de Tarot explique qu'à son époque encore, « on donnait les Cartes par cinq, ou de cinq en cinq ».

Cette désignation obéit, en outre, à une vision humaniste de la saisie du réel qui à la fois est propre à la Renaissance et fait de la main humaine à la fois le paradigme de la Création et son outil. Tout en effet dans le monde obéit aux règles du nombre d'Or et c'est le nombre cinq qui permet, symboliquement d'en rendre compte. On peut donc supposer que, même si elle n'apparaît qu'au tout début du XVIe siècle, cette désignation a pu être transmise aux joueurs par les créateurs mêmes du Tarot, à moins qu'elle ait été créée, à partir de l'étymologie grecque, par un joueur cultivé, ou encore par un cartier conscient des significations profondes du jeu.

Cette distribution cinq Cartes par cinq a été oubliée par les joueurs de tarot au cours du XIXe siècle où le Tarot s'est dédoublé, étant investi du côté symbolique par les occultistes tandis que le jeu des joueurs s'est détaché des représentations anciennes, jugées trop étranges et trop médiévales, pour les remplacer par des scènes de la vie quotidienne dans la France de cette époque. La retrouver est cependant la clé qui permet à ceux qui cherchent le sens profond de ce jeu d’images d'ouvrir le Livre du Tarot, Livre dans lequel ils trouveront l’esprit même de la Renaissance. Elle est, à n’en pas douter, ce qui dévoile l’organisation du Tarot, une organisation en trois types de Cartes : Atouts, Honneurs et Nombres et qui témoigne d’une espérance évangélique et hermétiste : le rôle que doit jouer l'humanité dans union de la matière et de l’esprit, le mariage mystique de la Terre et du Ciel.

  • La main aux cinq doigts chez les joueurs de cartes, y compris chez nos contemporains

Que le Tarot renvoie aux cinq doigts de la main, et par là même à la notion de « Main » n'a rien d'étonnant quand on songe à la signification courante que possède cette notion pour les joueurs, y compris de nos jours, ainsi qu'à à la symbolique qu’elle contient dans un usage qui, au sein de l'espace des joueurs, s’est considérablement élargi.

Le mot « main » désigne, par exemple, dans le jeu de poker, une combinaison de cinq cartes, et notons au passage aussi - car le nombre cinq est lié à la notion de main -, que l’on parle de quinte pour désigner cinq cartes de rang successif de la même couleur.

Ainsi, après une distribution due au hasard, chacun des joueurs sait avec quel type de main il démarre le jeu : une bonne main, une main médiocre, une très mauvaise main. Cette évaluation s'est étendue bien au-delà de l'espace sémantique du jeu de cartes. L’expression en langue française « avoir la main » insiste, ainsi, sur le fait d’être en possession d’un avantage manifeste dans l’ordre de l’activité et cela, quel que soit le domaine de cette activité. Celui qui a la main a la possibilité d’engager un mouvement décisif pour remporter une victoire. Il a, dit-on encore, la balle dans son camp.

Le mot main au sein des jeux, et d’une manière générale au sein des différentes expressions des activités humaines, renvoie donc à bien d’autres choses que cet organe de l’activité humaine qu’elle représente aussi, sur un plan purement physiologique, en tant qu’ensemble de cinq doigts. Elle symbolise l’activité humaine elle-même et même le potentiel d’activité que chacun possède.

Mais la notion de main avait, dans son lien au nombre cinq du fait qu'une main complète a cinq doigts, et à l’époque de la Renaissance, une autre fonction : elle était au fondement de l’architecture sacrée, celle-ci étant organisée par le nombre d’or, supportant les premières mesures de la canne de l’architecte.

Le Christ transfiguré, plaque de marbre redécouverte en 2016 du Saint Sépulcre
  • Conclusion

Si le mot grec « tarros » est apparu au moins au XVIe siècle pour désigner le jeu né à Milan en pleine Renaissance et que la tradition a désigné de manière trompeuse par le nom de « Tarot de Marseille », et s’il a été adopté par les créateurs du Tarot ou par de géniaux utilisateurs, c’est sans doute autant parce qu’il renvoie à l’importance que revêtent le nombre cinq dans ce jeu, mais aussi de manière générale à la Renaissance. Ce nombre renvoie aux doigts de la main humaine et dès lors à l'espérance humaniste de cette époque, tout comme il donne la clé qui permet d'ouvrir le Livre du Tarot : la distribution originelle du jeu cinq Cartes par cinq.

C’est par sa main, et en tant qu'incarnation du nombre V que l’être humain transforme le monde mais sans s'éloigner de la perfection divine. À cette époque où fut créé le Tarot et où l’Occident commence à être fasciné par la capacité de l’être humain à inventer, créer, modeler le réel à sa guise, quand donc, et pour citer H. Arendt, l’homme fabricateur commence à remplacer, au sommet de la hiérarchie des différents types d’être humain, l’homme contemplateur, il n’y a rien d’étonnant à ce que le jeu de tarot ait adopté un nom qui met l’accent à la fois sur la manière dont doivent être distribuées les Cartes chez les joueurs de tarot, mais aussi au pouvoir créateur de l’humanité et au rôle que cette dernière a à jouer au sein du cosmos : c’est par sa Main, par le pouvoir créateur de l'humanité dont elle se fait l’ouvrière que le Ciel et la Terre peuvent s’unir, et se refléter pleinement l’un l’autre et réaliser l'espérance humaniste que la Renaissance adoptait à son tour, après le l'alexandrinisme antique dont elle redécouvrait des oeuvres arrivés en Italie avec les réfugiés de Constantinople.

Comme le pentagramme et le pentagone sont au cœur du dodécaèdre, le cinq contient en lui le XXI et l’écriture romaine de ce nombre met bien en évidence la présence des quatre V avant le I, tous reliés par la pointe, celle-ci représentant l'humanité : le point le plus élevé de la Terre et le plus bas du Ciel. C'est ce qu'exprime la Carte ultime du Tarot, le XXI : en plaçant l'humanité christique ou l'Ève mystique au centre d'une mandorle entourée par quatre personnages qui renvoient autant aux quatre éléments (Terre, Feu, Air et Eau), qu'aux quatre Couleurs du Tarot (Denier, Bâton, Épée, et Coupe).


Mes remerciements à Wikipedia pour les illustrations de tableaux, peintures et dessins, ainsi que de graphismes, à france-pittoresque. com pour le tableau de Rabelais, amat-design.com pour le parthénon et sa partition selon le nombre d'or, villemin.gerard.free.fr pour sa représentation du pentagramme doré, Martouf le synthéticien pour la mise en relation du pentagramme et la main dans la construction de la canne de l'architecte, Le Figaro pour son image du tombeau du Christ après la restauration de 2016, et enfin Yves Renaud du site des Tarots de Marseille Héritage pour son magnifique jeu Convers (www./tarot-de-marseille-heritage.com).



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Remerciements

Tous mes remerciements à Yves Reynaud pour son autorisation à l'usage de son Tarot Convers en illustration de l'Organisation holistique du Tarot de Marseille. 

https://www.tarot-de-marseille-heritage.com/catalogue_conver1760.html

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